الجمعة، 4 أبريل 2014

definitions

Abduction

Mouvement qui écarte un membre ou une partie du corps de l'axe du corps.

Adduction

Mouvement qui rapproche un membre de l'axe du corps.

Algodystrophie

Complication imprévisible de certaines pathologies des membres supérieurs et inférieurs, déclenchée par un traumatisme parfois minime ou une intervention chirurgicale même mineure.

La pathologie évolue en deux phases :

الخميس، 3 أبريل 2014

la journee d amiboto au congre smacot a marrakech

LE 8.9 ET 10 MAI 2014 L ASSOCIATION MAROCAINE DES INFIRMIERS DU BLOC OPERATOIRE DE LA TRAUMATO ORTHOPEDIE ORGANISE LE 10 EME JOURNEE ET AUSSI LE 32 EME CONGRES SMACOT A Hotel Palm Plaza A MARRAKECH

Prothèse Totale de Genou

Vous présentez donc une arthrose évoluée du genou (gonarthrose) et votre chirurgien vous propose uneProthèse Totale de Genou (PTG).
Cette intervention consiste au remplacement de votre articulation altérée par une articulation artificielle qui a la forme de votre genou. Le principe est le même que pour le remplacement d’une hanche, bien que cette articulation soit plus complexe qu’une hanche, notamment en terme de mobilité. Cette prothèse est constituée de plusieurs pièces faite de différentes matières : acier (chrome, cobalt, nickel), titane (exceptionnellement, cas d’allergie aux métaux), polyéthylène (sorte de plastique très dur).

Mini-voie d'abord externe pour fracture du fémur

La pose d'une vis plaque externe se pratique classiquement en soulevant le vaste externe et en exposant la partie proximale du fémur de manière extensive. Il nous a semblé possible d'ostéosynthèser une fracture pertrochantérienne par une vis plaque à glissement de manière beaucoup moins invasive, sans aborder le foyer; sans désinsérer le muscle vaste externe par une mini voie d'abord. C'est un vieil article puisque j'ai mis au point la technique en 1993. C'est peut être le tout debut de la chirurgie mini invasive dans la chirurgie de la hanche. Je laisse l'article sur le site pour des raisons historiques puisque je ne fais plus cette chirurgie que de manière exceptionelle. C'est un article assez technique plutôt pour un chirurgien qu'un patient.

Les clous Gamma (Standard, Trochanteric et Long)

Le Centre de Traumatologie et d'Orthopédie (C.T.O.) de Strasbourg est historiquement tourné vers les techniques d'ostéosynthèses centro-médullaires à foyer fermé. Si sa fondation remonte à la fin du Siècle dernier, c'est surtout à la fin des années quarante que ce type d'ostéosynthèse a commencé à être utilisé de façon intensive dans le traitement des fractures diaphysaires fémorales. Gaston Pfister, alors jeune chirurgien au C.T.O., a été le premier a utilisé un clou de Küntscher pour stabiliser une fracture fémorale et ce dès le mois de décembre 1944.

الأربعاء، 2 أبريل 2014

Le kyste synovial

Kyste synovial

Définition

Le kyste synovial est une « poche » se formant au dépend de la membrane synoviale. Cette poche est remplie d’une substance translucide gélatineuse fabriquée par la synoviale.
L’apparition d’un kyste synovial peut être brutale ou progressive, avec parfois des épisodes de résorption.
En cas d’apparition progressive, il est le plus souvent indolore mais s’il vient à comprimer des tendons, vaisseaux ou nerfs adjacents, cela peut provoquer une douleur ou une gêne fonctionnelle.
En revanche, lors d’une apparition brutale, il est souvent douloureux.
Les localisations préférentielles des kystes synoviaux sont le poignet, les doigts et le creux poplité.

L'hygroma

Définition

Il s’agit de l’apparition d’une tuméfaction en ragard de l’articulation touchée (coude ou genou). La bourse séreuse, espace de glissement normalement « virtuel », se remplit d’un liquide et la tuméfaction apparaît : on parle d’hygroma ou de bursite (inflammation de la bourse séreuse).
Cette inflammation peut être due à de petits traumatismes répétés, à la présence d’un corps étranger, à une pathologie rhumatismale (polyarthrite), une pathologie à microcristaux (goutte) ou à une infection (qui débute souvent à partir d’une petite lésion cutanée).
L’hygroma touche préférentiellement les hommes.

Le doigt à ressaut

Anatomie du doigt

Anatomie

Définition

Les tendons fléchisseurs de la main coulissent dans des gaines, renforcées par endroit par des poulies. Le doigt à ressaut découle d’un conflit du tendon au niveau de la poulie se situant en regard de l’articulation métacarpo-phalangienne. Il en résulte une inflammation de ce tendon (ténosynovite) avec fréquemment l’apparition d’un nodule inflammatoire réactionnel au sein de ce tendon ne faisant qu’aggraver le conflit entre le tendon et la poulie.

La maladie de Dupuytren

Définition

La Maladie de Dupuytren est la rétraction de l'aponévrose palmaire moyenne, entraînant la flexion progressive et irréductible d'un ou plusieurs doigts, le plus souvent l’annulaire et l’auriculaire. Les doigts atteints ne peuvent plus s’étendre complètement, des indurations, et des brides sous la peau s’accentuent progressivement.
La Maladie de Dupuytren est plus fréquente chez les hommes (80%) et apparaît généralement autour de 50 ans.

L’intervention

L’indication opératoire est posée quand le défaut d’extension complète des doigts devient gênant.
La chirurgie a pour but de rendre aux doigts atteints leur possibilité d'extension active.
L’intervention peut se réaliser en chirurgie ambulatoire ou en hospitalisation classique, selon les cas.
L’intervention peut se faire sous anesthésie générale, ou anesthésie locorégionale. Elle se déroule au bloc opératoire dans des conditions rigoureusement aseptiques. 

Le syndrome du canal carpien

Définition

Le syndrome du canal carpien est dû à la compression du nerf médian lors de son passage dans le canal carpien.
Le canal carpien est une gouttière formée par les os du carpe, il est recouvert par le ligament annulaire antérieur.

Symptômes

Le syndrome du canal carpien peut apparaître de façon soudaine, suite à un traumatisme ou à une sollicitation forte et inhabituelle du poignet, mais la forme la plus fréquente est la forme progressive.
Les symptômes sont surtout des troubles sensitifs (engourdissements et fourmillements) au niveau des trois premiers doigts et du bord externe du quatrième doigt de la main, mais peuvent aussi se compliquer d’une déficience musculaire.
Ces symptômes apparaissent généralement la nuit ou au cours d’activités sollicitant la main et le poignet.
Dans les formes évoluées, la douleur peut irradier dans la main et l’avant bras.

La luxation d’épaule récidivante

Anatomie de l’épaule

L’articulation de l’épaule se décompose en deux articulations :
  • l’articulation principale entre l’omoplate et l’humérus
  • l’articulation accessoire entre omoplate et clavicule
La tête de l’humérus de forme arrondie s’articule avec la glène (surface quasiment plate de l’omoplate) et l’extrémité de la clavicule s’articule avec l’acromion, la stabilité de chaque articulation est assurée par des ligaments (capsule articulaire).
Un groupe musculaire vient s’insérer tout autour de l’articulation au dessus de la capsule, l'extrémité de ces muscles constitue les tendons de la coiffe des rotateurs.
L'épaule est l'articulation la plus mobile du corps, mais du fait de la mauvaise congruence osseuse, elle est relativement instable.

الثلاثاء، 1 أبريل 2014

La rupture de la coiffe des rotateurs

Définition

La coiffe des rotateurs est un groupe de tendons de cinq muscles (sus épineux, sous épineux, petit rond, sous scapulaire et long biceps) qui convergent au niveau de l’épaule, s’insèrent sur les tubérosités de la tête humérale et la glène, « coiffant » ainsi la tête humérale.
Lors des mouvements de l’épaule, cette coiffe coulisse sous une voûte étroite formée par l’acromion, l’articulation acromioclaviculaire et le ligament acromiocoracoïdien.
Il existe trois grands types de rupture de coiffe des rotateurs :
  • la rupture traumatique, survenant le plus souvent au décours d’un accident
  • la rupture dégénérative survenant sur une coiffe « fatiguée » sans traumatisme connu
  • la rupture sur tendinopathie calcifiante.

La prothèse totale d’épaule

Anatomie de l’épaule

L’articulation de l’épaule se décompose en deux articulations :
  • l’articulation principale entre l’omoplate et l’humérus
  • l’articulation accessoire entre omoplate et clavicule
La tête de l’humérus de forme arrondie s’articule avec la glène (surface quasiment plate de l’omoplate) et l’extrémité de la clavicule s’articule avec l’acromion (« hernie » osseuse de l’omoplate), la stabilité de chaque articulation est assurée par des ligaments (capsule articulaire).
Un groupe musculaire vient s’insérer tout autour de l’articulation au dessus  de la capsule, l'extrémité de ces muscles constitue les tendons de la coiffe des rotateurs.

Le névrome de Morton

Définition

C’est la déformation d’un orteil au niveau de l’articulation interphalangienne proximale.
Elle peut être isolée ou associée à un hallux valgus.
Elle est favorisée par des chaussures au bout trop étroit et aux talons hauts.
A l’endroit du conflit, la peau s’épaissit et forme un durillon à l’origine de douleurs et de gêne au chaussage.
Ces lésions cutanées peuvent former des plaies et infecter l’articulation en regard du durillon.

Métatarsalgies et luxation métatarsophalangienne

Définition

La morphologie de l’avant pied se modifie avec l’âge. Il en découle assez fréquemment des métatarsalgies à l’origine de durillons en regard des articulations métatarsophalagiennes. Ces métatarsalgies ne sont que le reflet d’un défaut de congruence articulaire au niveau de la métatarsophalangienne qui finit par se luxer progressivement.

L'hallux valgus

Définition

Hallux valgusL’hallux valgus est la déformation du premier rayon du pied associant le plus fréquemment une déviation en varus du premier métatarsien et en valgus du gros orteil.
Il en résulte une angulation de l’avant pied, une proéminence de l’articulation métatarsophalangienne (appelée trivialement « oignon ») qui rentre en conflit avec la chaussure à l’origine de douleurs et de gêne fonctionnelle.
Outre l’aspect inesthétique de l’hallux valgus, l’exostose peut provoquer unebursite avec un risque d’arthrite septique.
Cette pathologie atteint préférentiellement les femmes. Elle peut être due à une prédisposition familiale et atteindre alors des patients jeunes mais le plus souvent, elle est le résultat d’une évolution progressive, aggravée par le port de chaussures trop étroites et à talons hauts.
L’hallux valgus peut être associé à une déformation des autres rayons de l’avant pied

La méniscectomie

Anatomie du genou Anatomie du genou

Le genou est composé de deux articulations :
  • l’articulation fémoro-tibiale (condyles fémoraux et plateau tibial)
  • l’articulation fémoro-patellaire (condyles fémoraux et rotule)

La stabilité du genou est assurée par des ligaments :
  • les ligaments latéraux (interne et externe)
  • le pivot central (ligament croisé antérieur et ligament croisé postérieur)
  • les ailerons rotuliens.

Lésions méniscales du genou

Image Menisquefan.gif 9.1 Définition

Les lésions méniscales constituent une pathologie extrêmement fréquente qui se rencontre aussi bien chez l’adulte jeune lors d’un traumatisme sportif, que chez le sujet plus âgé où elle est souvent l’illustration de phénomènes dégénératifs au niveau du genou.
Il s’agit de distinguer les lésions du ménisque interne et les lésions du ménisque externe qui diffèrent tant du point de vue physiopathologique que clinique et thérapeutique.

La ligamentoplastie du croisé antérieur

Anatomie du genouAnatomie du genou

Le genou est composé de deux articulations :
  • l’articulation fémoro-tibiale (condyles fémoraux et plateau tibial)
  • l’articulation fémoro-patellaire (condyles fémoraux et rotule)

La stabilité du genou est assurée par des ligaments :
  • les ligaments latéraux (interne et externe)
  • le pivot central (ligament croisé antérieur et ligament croisé postérieur)
  • les ailerons rotuliens

L’ostéotomie de genou

Anatomie du genou

Le genou est composé de deux articulations :
  • L’articulation fémoro-tibiale (condyles fémoraux et plateau tibial)
  • l’ articulation fémoro-patellaire (condyles fémoraux et rotule)
La stabilité du genou est assurée par des ligaments :
  • les ligaments latéraux (interne et externe)
  • le pivot central (ligament croisé antérieur et ligament croisé postérieur)
  • les ailerons rotuliens.

L'arthroscopie

Arthroscopie
L’arthroscopie est une intervention qui consiste à visualiser l’intérieur d’une articulation au moyen d’un instrument optique appelé arthroscope, pour accomplir un geste opératoire avec une « mini instrumentation ».
On pratique deux (plus rarement trois) petites incisions d’environ 1 cm en regard de l’articulation, par lesquelles on introduit l’arthroscope et les instruments adaptés. L’arthroscope est relié à un écran vidéo qui permet au chirurgien d’évoluer dans l’articulation.

La prothèse de genou

Anatomie du genou

Le genou est composé de deux articulations :
  • L’articulation fémoro-tibiale (condyles fémoraux et plateau tibial)
  • l’ articulation fémoro-patellaire (condyles fémoraux et rotule)
La stabilité du genou est assurée par des ligaments :
  • les ligaments latéraux (interne et externe)
  • le pivot central (ligament croisé antérieur et ligament croisé postérieur)
  • les ailerons rotuliens.

La Prothèse Totale de Hanche(PTH)


Sur le plan anatomique osseux, la hanche est constituée d’une ‘ demi-sphère et d’une boule’. Le cotyle hémisphérique ou acétabulum pelvien est formé par la réunion des structures pelviennes iliaque et branches ilio- et ischio-pubiennes. La tête du fémur s’y articule, faisant un angle de 135° avec la diaphyse fémorale et le grand trochanter, par l’intermédiaire du col du fémur. L’articulation est stable, stabilité renforcée par un système capsulo-ligamentaire.
Le cartilage recouvre le cotyle et la tête fémorale ; il a un rôle essentiel de glissement articulaire sans friction, d’absorption des chocs et de distribution des stress.
Plusieurs muscles entourant la hanche participe à sa stabilité et sa mobilité, en particulier le moyen fessier, muscle externe entre la crête iliaque et le grand trochanter, stabilisateur horizontal du bassin à la marche, permettant une marche sans boiterie : sa rééducation après prothèse de hanche est essentielle.
La mobilité rotatoire est ainsi possible dans les trois plans de l’espace : flexion-extension, abduction-adduction, et rotation interne-externe.